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Reddition à 80 km/h : des normes strictes

Article présent dans le dossier : 1,6 milliard d’euros pour la régénération des voies en 2017

A l’image de ce qui s’était fait au début des années 90 lorsque la reddition – c’est-à-dire la reprise des circulations commerciales – était passée de 40 km/h à 60 km/h, le fait de rendre la ligne une vitesse de 80 km/h est synonyme de normes beaucoup plus strictes en application des référentiels liées aux caractéristiques géométriques de la voie. Essentiel pour que les trains roulent en toute sécurité sur les zones qui viennent d’être renouvelées. SNCF Réseau impose donc plus de contraintes techniques et d’aptitudes supplémentaires aux futures suites rapides. Exemple, le préchauffage du rail neuf lui imposant une température moyenne de 25° pour éviter tout risque de déformation après la reddition et avant les phases de relevage. Certains mettent en œuvre un préchauffage par induction électrique à l’image du train BOA de TSO-Scheuchzer utilisé sur les lignes à grande vitesse. Transalp Renouvellement a, pour sa part, adopté une technique de préchauffage du rail à l’eau chaude testée récemment lors d’un chantier sur la région de Strasbourg. Autre contrainte, la tenue en fin d’interception des rampes de raccord de la partie de voie renouvelée à celle qui ne l’est pas encore. Nécessitant une épaisseur de ballast plus importante, des vérifications s’avèrent indispensables sur sa tenue et son compactage. Les trains devront donc comporter un groupe de stabilisation. A 80 km/h cette stabilisation de la voie est obligatoire, sauf sur certains ouvrages d’art définis avant le chantier qui seront jugés non stabilisables pour ne pas prendre le risque de les endommager. Comment fera alors l’entreprise pour garantir un bon compactage du ballast avec une méthode autre ...

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Retrouvez le dossier 1,6 milliard d’euros pour la régénération des voies en 2017 dans le magazine VR&T n°595

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