fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Avignon, le tramway sauve sa peau

Article présent dans le dossier : BHNS et tramways, la nouvelle vague. Partie 2 : de nouvelles générations de tramways

Tramway Avignon  

Voté en 2010 par l’ancienne équipe municipale et communautaire menée par la maire (PS) d’Avignon Marie-Josée Roig, lauréat du premier appel à projets transport collectif en site propre (Grenelle 1), le tramway n’aura pas été un long fleuve tranquille. Un tram coûte cher (240 millions d’euros pour celui d’Avignon) et l’assèchement des ressources financières des collectivités locales n’a pas facilité sa réalisation. Elue en 2014, la nouvelle maire, Cécile Helle, ne veut pas en entendre parler. Le nouveau président du Grand Avignon, Patrick Vacaris, fait alors étudier l’hypothèse d’un bus à haut niveau de service (BHNS). Les ingénieurs de l’agence d’urbanisme, du ministère des Transports, un expert indépendant et la direction générale des Finances n’en démordent pas : ce qu’il faut pour Avignon et sa démographie galopante (200 000 hab, avec des perspectives d’évolution de 550 000 hab. dans l’aire urbaine), c’est un tram. L’élu décide de mettre le projet en stand-by.

Problème, le marché pour l’achat de 24 rames avait déjà été passé auprès d’Alstom pour 44 millions d’euros, avec une option de quatre rames pour la deuxième ligne. Difficile de faire machine arrière. Le projet sera finalement découpé en plusieurs phases : une première ligne de 5,2 km pour 117 millions d’euros qui bénéficie de 29 millions de subvention de l’Etat et qui sera inaugurée le 19 octobre, complétée par deux ...

Il vous reste 79% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier BHNS et tramways, la nouvelle vague. Partie 2 : de nouvelles générations de tramways dans le magazine VR&T n°628

DOSSIERS PrécédEnts

Les loueurs de matériels roulants montent en puissance

Les RER métropolitains suspendus à leurs financements

Spécial Bus

Formation : ce qu’en attendent les entreprises