La SNCF sur le qui-vive
05 Avr 2019
Dossiers > Cybersécurité. Sujet tabou, vraie menace > La SNCF sur le qui-vive
Article présent dans le dossier : Cybersécurité. Sujet tabou, vraie menace
Sommaire
- Cybersécurité. Sujet tabou, vraie menace
- La SNCF sur le qui-vive
- ADP veut se prémunir d’un blocage de ses aéroports
- Le fléau des cyberattaques n’épargne pas les PME
- Des entreprises très exposées
- Hackeuse for good : Lennig Pedron, présidente de l’ONG Icon
- Sept grands risques
- Un partenariat Alstom-Airbus pour « capitaliser sur les acquis de l’aérien »
- Risk manager, un métier qui prend du galon
- Petit cyber glossaire
La SNCF emploie près de 200 personnes pour assurer la protection des installations et des données personnelles de ses clients. Un travail de tous les instants face à des attaques qui ne cessent d’évoluer.
« Tous les jours, nous recevons des mails malveillants, avec des virus, des demandes de rançons… Cela devient habituel, toutes les sociétés le subissent », raconte Benoît Tiers, le directeur général Digital et Systèmes d’information de la SNCF (e.SNCF). Lors des dernières grandes cyberattaques, comme WannaCry ou NotPetya en 2017, la SNCF a bel et bien été attaquée, mais elle n’a pas été impactée, affirme le directeur général d’e.SNCF. « Nous sommes passés entre les gouttes. »
D’où une « énorme vigilance » de tous les instants pour se protéger. « C’est un domaine dans lequel il faut faire preuve de beaucoup d’humilité. Nous avons des équipes, nous travaillons, nous progressons », poursuit Benoît Tiers.
Deux grands types de risques menacent la compagnie ferroviaire. Ceux pouvant affecter les infrastructures et leur ...
Il vous reste 88% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.
Retrouvez le dossier Cybersécurité. Sujet tabou, vraie menace dans le magazine VR&T n°622