fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

La nouvelle route

16 Mai 2019

Dossiers > La nouvelle route

La route du futur saura produire de l’électricité, capter de la chaleur, alerter les services de maintenance sur son état ou sur l’intensité du trafic… et communiquer avec les véhicules. Si le secteur du BTP travaille activement sur toutes ces pistes pour rendre les routes « intelligentes », il faudra encore du temps et des budgets conséquents pour les voir se généraliser.

La route est en train de devenir un vaste terrain d’expérimentation. Demain, si l’on en croit les chercheurs, la chaussée saura tout faire : produire de l’électricité, capter de la chaleur ou à l’inverse, rafraîchir l‘atmosphère, réduire la pollution en cas de canicule, déneiger sans sel… et surtout communiquer !

La route n’est donc plus seulement envisagée dans sa fonction support, mais comme un vecteur de multiples services. Avec à la clé des enjeux économiques et sociaux considérables, sans oublier tout ce qui touche à la biodiversité et aux paysages.

Tous les acteurs de la route travaillent d’arrache-pied sur ces questions, les grands constructeurs, Vinci, Eiffage, Colas et autres Spie Batignolles, mais aussi les organismes publics qui travaillent sur la mobilité de demain, l’Ademe, le Cerema ou l’Ifsttar*.

Tous l’assurent : la route du futur sera moins énergivore grâce à de nouveaux procédés de recyclage qui passeront par l’utilisation de déchets d’autres industries ou par l’autorecyclage. Elle sera connectée avec différents équipements, les lampadaires qui détecteront les vé...

Il vous reste 83% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

DOSSIERS PrécédEnts

Les loueurs de matériels roulants montent en puissance

Les RER métropolitains suspendus à leurs financements

Spécial Bus

Formation : ce qu’en attendent les entreprises