fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Kevin Speed ou le TGV du quotidien

Article présent dans le dossier : Les nouveaux aventuriers du rail

« La grande vitesse, pour tous, tous les jours » : c’est, résumé en une baseline, le marché visé par Kevin Speed, un projet ferroviaire français (malgré son nom), officialisé en septembre 2021 par Laurent Fourtune, ingénieur passé chez Ile-France Mobilités, la RATP et Getlink.

Son crédo : le TGV omnibus, pas cher, pour aller d’une métropole à l’autre en 1h à 1h30.

Trois lignes de 300 km, rayonnant autour de Paris, avec des arrêts rapprochés, dans toutes les gares, pour faire monter à bord une clientèle issue de la classe moyenne – d’où la référence au prénom Kevin très populaire dans les années 1990 – que le télétravail et les prix de l’immobilier éloignent des centres villes.

Kevin Speed  

Des trains à grande vitesse courts, équipés de nombreuses portes faisant des rotations rapides et fréquentes (douze par jour, quatre par conducteur, une minute d’arrêt en gare). Bref, une organisation permettant des tarifs annoncés à trois euros pour 100 km !

Reste à trouver des fonds pour acheter une vingtaine de trains et démarrer cette nouvelle aventure ferroviaire. Les fonds de capital risques ont permis à Laurent Fourtune d’amorcer la pompe, mais pour financer la vingtaine de TGV Alstom (Plus de 30 millions d’euros par rame en moyenne), il lui faut transformer les lettres d’intérêt reçues de la part des investisseurs et ...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Les nouveaux aventuriers du rail dans le magazine VR&T n°666

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique