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Entre Tarascon et Arles, un chantier pharaonique

08 Déc 2021

Climat , Réchauffement climatique , Transports

Dossiers > Les transports face au dérèglement climatique > Entre Tarascon et Arles, un chantier pharaonique

Article présent dans le dossier : Les transports face au dérèglement climatique

Deux cents millions d’euros ont été investis pour protéger Arles et la voie ferrée d’une nouvelle crue millénale du Rhône.

Le 3 décembre 2003, sous la pression des eaux du Rhône gonflé comme jamais, le système de protection de la voie ferrée au sud de la commune de Tarascon (Bouches-du-Rhône) cède. C’est la seule protection dont dispose le quartier du Trébon, à Arles, à quelques kilomètres au sud. Très vite, une partie de la sous-préfecture (50 000 habitants, plus grande commune de France) se retrouve sous les eaux : des quartiers entiers sont submergés par 16 millions de mètres cubes d’eau avec des hauteurs d’eau allant de 60 cm à 2 mètres. La campagne environnante est dévastée.

C’est pour éviter que pareille catastrophe ne se reproduise et que les transports ne soient de nouveau impossibles qu’un chantier titanesque a été entrepris depuis trois ans par SNCF Réseau le long de la voie ferrée qui mène d’Arles à Avignon (qu’emprunte le TGV Paris - Miramas), en passant justement par Tarascon. Inaugurée le 10 novembre 2021, la nouvelle digue va permettre de sécuriser le remblai ferroviaire. Dix ponts-cadres de 1 700 tonnes de béton ont été posés le long de cette portion de voie de chemin de fer, soit un tous les 500 mètres. « Des équipes techniques américaines sont venues de Louisiane pour regarder comment on avait fait, explique l’ancien maire (PC) d’Arles, Hervé Schiavetti, aux manettes de la ville quand le chantier a été lancé. L’idée est de protéger les ...

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Retrouvez le dossier Les transports face au dérèglement climatique dans le magazine VR&T n°654

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