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« On va pouvoir comparer les coûts de maintenance du privé avec ceux de la SNCF »

03 Juil 2017

Dossiers > BPL-SEA : 554 km de ligne de plus pour la grande vitesse > « On va pouvoir comparer les coûts de maintenance du privé avec ceux de la SNCF »

Article présent dans le dossier : BPL-SEA : 554 km de ligne de plus pour la grande vitesse

Par Yves Crozet, économiste spécialiste de l’économie des transports.   « J’étais au conseil d’administration de Réseau ferré de France quand on a pris la décision de lancer la LGV Tours – Bordeaux sous forme de concession. Je savais que c’est un pari très risqué. Mais il fonctionne quand les trafics sont suffisants. On n’avait évidemment pas prévu qu’entre-temps arriveraient BlaBlaCar et les cars Macron. De plus, depuis sept ou huit ans, les trafics du TGV plafonnent… Le risque trafic est peut-être plus grand que ce que l’on pensait. Mais à l’époque, c’était un choix politique de Nicolas Sarkozy qui pensait qu’en investissant dans les transports, on gagnerait de la croissance. Le secteur public ne pouvait pas lancer les quatre LGV en même temps. Or, en France, il y a la conjonction de deux phénomènes : les élus locaux demandent des TGV à cor et à cri et le prisme politique de la droite est sensible à ce discours. D’où le Snit [Schéma national d’infrastructures de transports, NDLR] voté à l’unanimité en 2009. Après, il fallait trouver de l’argent à tout prix. Au final, sur les quatre LGV lancées en même temps, on n’a mis que huit milliards d’euros d’argent public sur les 15 milliards. Il faut regarder sur le long terme. Si Lisea ne fait pas faillite, le recours à la concession ne coûtera pas plus cher que si le public avait réalisé la ligne SEA. Il ne faut pas prendre en compte que le coût de la construction, il faut aussi évaluer le coût de l’exploitation. Qui devraient être inférieurs. Dans deux ou trois ans, on saura que pour entretenir une ligne ...

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Retrouvez le dossier BPL-SEA : 554 km de ligne de plus pour la grande vitesse dans le magazine VR&T n°601

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