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Le train pourrait supplanter (avantageusement) l’avion

09 Juil 2021

Aéroport , avion , Climat Résilience , loi

Dossiers > Que faire des 130 aéroports français > Le train pourrait supplanter (avantageusement) l’avion

Article présent dans le dossier : Que faire des 130 aéroports français

Il fut un temps où les Français, via l’ancienne compagnie Air Inter, prenaient l’avion comme les Américains. Puis le TGV a tout changé. Et continue de tout changer, des décennies après l’arrivée des premières rames orange. La Convention Citoyenne réunie en 2020 a proposé de frapper un grand coup : interdire toutes les liaisons aériennes en France quand existe une alternative en train de quatre heures maximum.

En clair, terminés les Paris – Bordeaux, Paris – Marseille, Paris – Clermont, Marseille – Toulouse (3 h 45 meilleur temps), Paris – Lyon ou Nantes ou Brest (3 h 32). L’idée étant très clairement de diminuer les émissions de CO2. On sait qu’un passager du vol Paris – Marseille émet 53 fois plus de gaz à effets de serre (84,8 kg) qu’un voyageur optant pour le TGV. Impossible, répondent les partisans de l’aérien, de s’attaquer aux lignes intérieures.

Pour une raison très simple : le ferroviaire, dans bien des cas, n’est pas en mesure de remplacer l’avion. Faux, répond l’association Réseau Action Climat qui a publié le 16 juin un rapport justement intitulé : « Le train peut-il absorber les voyageurs des lignes aériennes intérieures en France ? » La réponse est sans ambiguïté : oui ! L’ONG assurant même que la proposition initiale de la Convention Citoyenne de supprimer les vols en cas d’alternative ferroviaire en moins de quatre heures pouvait « être facilement mise en œuvre. (…) Les résultats de l’étude démontrent que l’ensemble des voyageurs aériens des 23 lignes pour lesquelles ...

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Chambery avion

Retrouvez le dossier Que faire des 130 aéroports français dans le magazine VR&T n°649-650

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