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Palmarès des mobilités 2009 : le prix des nouvelles mobilités pour Tours

Mis à jour le 23 mai 2017

Le « Viamichelin » du cycliste propulse Tours sur la première marche du podium LE LAURÉAT

Tours : Géovélo, le « Viamichelin » du cycliste
Comme le font les automobilistes depuis plusieurs années, les cyclistes prennent l’habitude de calculer leur itinéraire en ligne. Mais les sites prenant en compte les aménagements cyclables sont inexistants. Un pionnier, Géovélo, propose un moteur pour calculer le meilleur itinéraire à Tours en fonction de deux critères principaux : la vitesse (donc la distance) et la sécurité. Il est né de la passion d’un Tourangeau, Benoît Grunberg, le directeur de l’association Autour du train, pour la promotion de l’intermodalité par des parcours touristiques à vélo au départ des gares de la région Centre. Patiemment, il a enrichi sa base de données. « A deux, nous avons sillonné la ville pendant deux ans pour mesurer la cyclabilité de chaque tronçon et si possible aux heures de pointe afin d’avoir un jugement juste de la sécurité », précise-t-il. « Il y a une carence au niveau de l’information pour les vélos, même les centrales de mobilité l’oublient », estime celui qui ne se déplace qu’à bicyclette… et en train. Le développement de www.geovelo.fr a coûté 100 000 euros dont 60 % ont été subventionnés par la Predim, par Tours Plus et par la région Centre. Le résultat, lancé en juin en version bêta, est convaincant. Il reçoit quelque 300 visites par jour et est appelé à se développer. Les projets ne manquent pas : adapter l’application à l’iPhone d’Apple, décliner une version de Géovélo à Paris ou encore proposer des itinéraires thématiques du type « comment aller faire ses courses à vélo ? »
Le détail qui change tout : l’idée du fondateur de Géovélo est de fédérer une communauté de cyclistes susceptible d’aider aux mises à jour permanentes du site.

 

LES NOMINÉS

Morbihan : une politique de covoiturage volontariste
La mise en place d’une politique d’incitation au covoiturage dans le Morbihan date de fin 2005. Le conseil général décide alors de considérer la pratique comme un transport semi-collectif et de mener une politique active. Le service de rapprochement mis en place par l’opérateur Green Cove Ingénierie compte aujourd’hui environ 9 000 membres et 6 000 projets de covoiturage. Depuis l’an dernier, cette politique s’est accompagnée d’une ambition d’implantation de 35 aires de covoiturage sur tout le territoire. Le conseil général a réaménagé des espaces existants, créé de nouveaux parcs, mais aussi développé une politique de partenariat avec la grande distribution, pour utiliser les parkings de supermarchés comme lieu de rendez-vous pour ses covoitureurs. Dans l’arrière-pays, de parkings existants ont été labellisés en milieu rural. Dès qu’il le peut, le Morbihan donne de la visibilité au covoiturage.
Le détail qui change tout : le Morbihan a mené une action volontariste de formation auprès des entreprises et des administrations pour les aider à communiquer sur la pratique. Des outils clés en main ont été fournis (articles prérédigés, affichettes, flyers).

Strasbourg : une politique vélo historique et ambitieuse
La première ville cyclable de France, avec 10 % de déplacements effectués en vélo, entend intensifier ses efforts. « Strasbourg a de l’avance sur le retard ! plaisante Alain Jund, maire adjoint chargé de l’urbanisme. Des villes comme Karlsruhe, Copenhague ou Fribourg ont des parts vélo entre 27 et 35 %. » Et d’ailleurs, la ville ambitionne d’atteindre une part de marché de 20 % en centre-ville avec son projet de vélos partagés. Contrairement aux systèmes en libre-service (VLS), il faudra rapporter son vélo au point de départ. Mais en limitant la charge annuelle de fonctionnement à 1 000 euros par vélo – contre 4 000 euros pour les Vélib’ –, la ville promet « davantage de vélos à la disposition des usagers ». Le service favorisant l’intermodalité sera géré par extension de la DSP à la CTS. Après un test en juin, la phase 1, avec 2 000 vélos et cinq points de location en ville, devrait être lancée en septembre 2010. Dans une seconde phase, le projet compte 5 000 vélos et 15 stations. Les cyclistes auront la possibilité de louer pour des durées courte, moyenne ou longue, mais la longue durée sera privilégiée.
Le détail qui change tout : les points de location seront tenus en journée par des salariés habilités à faire les menues adaptations et réparations sur les vélos, une autre particularité strasbourgeoise.
 

Cécile NANGERONI

Pour accéder au dossier, cliquez ici

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