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Algérie. Le programme des tramways se poursuit, mais ralentit

Article présent dans le dossier : Moyen-Orient/Afrique du Nord. Les révolutions du transport

Les trams d’Algérie ont fait l’objet d’un accord-cadre entre la RATP et les autorités algériennes, conclu du temps de Pierre Mongin. Annoncé en mai 2012, il a été confirmé officiellement en décembre 2013. Les opérations à cette date avaient déjà bien commencé à Alger, Oran et Constantine. Aux termes de l’accord, la Setram, constituée par RATP Dev (49 %), EMA, l’Entreprise du métro d’Alger (30 %), Etusa, l’Entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (21 %), et dirigée par RATP Dev, exploitera tous les trams du pays, et en effectuera la maintenance, à l’exception de celle du tramway d’Alger qui est assurée par Alstom, le fournisseur du matériel. C’est en mai 2011 qu’a été mis en service le premier tronçon du tramway d’Alger, de 7 km et 14 stations. Un deuxième tronçon de 9 km et 16 stations a suivi en juin 2012. Un troisième en 2014, et un quatrième en 2015 ont porté la ligne à 23 km et 38 stations. A terme, le système pourrait transporter 185 000 passagers par jour. On en est aujourd’hui à 75 000, avec une régularité moyenne de 96 %. En mai 2013 Oran a mis en service un tramway, de 18,7 km pour 32 stations et, en juillet de la même année, Constantine a fait de même, de 8 km pour 10 stations. Les résultats des lignes sont bons en termes de régularité. 96 % par exemple pour le tram d’Alger. Quand on regarde la fraude, c’est autre chose. Sans donner de chiffre, François-Xavier Perin reconnaît que les résultats ne sont pas excellents. Et précise : « Le système n’est pas fermé, mais les autorités organisatrices y pensent pour les réseaux du futur. » Prochainement, d’ici la fin 2017 ou le dé...

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Retrouvez le dossier Moyen-Orient/Afrique du Nord. Les révolutions du transport dans le magazine VR&T n°591

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