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Maroc. La première LGV d’Afrique attendue pour 2018

Article présent dans le dossier : Moyen-Orient/Afrique du Nord. Les révolutions du transport

Grâce à la première ligne à grande vitesse d’Afrique, il ne faudra que 2 heures 10 pour aller de Tanger à Casablanca par le train, contre 5 heures 45 minutes aujourd’hui. Et 1 heure 20 de Tanger à Rabat, contre 3 heures 45, ou 47 minutes de Tanger à Kénitra contre 3 heures 15. C’est avant juin 2018 que les premières opérations devraient commencer, selon Mohamed Rabie Khlie, directeur général de l'Office national des chemins de fer (ONCF). Quinze départs quotidiens dans chaque sens seront programmés, a-t-il indiqué en mai dernier lors du premier colloque consacré à la grande vitesse à Tanger. L’objectif étant désormais un trafic annuel de six millions de voyageur, au lieu de huit initialement prévus. La LGV était attendue d’abord pour 2015. L’affaire a été plus compliquée, non à cause de problèmes techniques, mais de difficultés d’acquisition du foncier. Désormais, la LGV avance. Longue de 200 km, elle va de Tanger jusqu’à Kénitra, au nord de Rabat. Elle est placée sous maîtrise d’œuvre Egis pour la partie nord et Systra pour le sud. Systra est par ailleurs, auprès de l’ONCF, maître d’ouvrage au titre de missions confiées à Inexia avant son intégration dans le grand Systra. D’où la mise en place, classique en ce cas, d’un « chinese wall » au sein du groupe. Aujourd’hui, la partie sud est quasiment terminée, la partie nord, nettement plus accidentée, le sera un peu plus tard. Le tronçon sud devait être livré cet été et le tronçon nord à la fin de l’année. 50 km étaient entièrement achevés en août. « Ils permettront de faire des essais système au début de l’année prochaine. Les essais dynamiques pourraient avoir lieu à ...

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Retrouvez le dossier Moyen-Orient/Afrique du Nord. Les révolutions du transport dans le magazine VR&T n°591

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