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Des essais européens de compatibilité

Article présent dans le dossier : Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation

Le tout nouvel autobus articulé Volvo 7900 (ici, l’un des véhicules de présérie en exploitation probatoire à Göteborg) est doté d’une chaîne cinématique aussi ingénieuse que performante.

 

Concernant les autobus, les essais impliquent les constructeurs et industriels suivants : Iveco, Volvo, Irizar, VDL, Vectia, ABB, Jema et Héliox. Ils se déroulent déjà, ou vont se dérouler, tout à la fois à Lyon et Bayonne (France), Turin (Italie), Göteborg (Suède), Helmond (Pays-Bas) et Castejon (Espagne). Les premiers résultats sont attendus pour juin 2020. L’outil d’évaluation ainsi mis au point devrait enfin rendre « mesurable » le critère d’interopérabilité. Toutefois, les industriels n’ont fort heureusement pas attendu la Commission européenne pour commencer à se préoccuper très en amont de ces questions. Ainsi Volvo, qui s’était lancé le premier dans l’électromobilité, et qui fournit des systèmes « clés en main » tel celui de l’aéroport de Birmingham (Angleterre) tout récemment livré, travaille beaucoup en ce sens, entre autres avec Siemens et ABB. Force est de constater qu’il a remarquablement su jouer son rôle de pionnier, et qu’il a réellement acquis une expérience d’avance. En témoignait d’ailleurs le tout nouvel articulé 7900 « full electric » dévoilé au congrès UITP (Union Internationale des Transports Publics) de Stockholm, en juin dernier. De manière similaire, VDL, également en collaboration avec Siemens, poursuit des investigations sur la manière dont les autobus 100 % électriques, les systèmes de stockage d’énergie au sol utilisant des batteries ...

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Retrouvez le dossier Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation dans le magazine VR&T n°634

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