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Les opérateurs allemands tirent leur épingle du jeu

03 Avr 2020

autobus , bornes de recharge , bus , Bus électrique

Dossiers > Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation > Les opérateurs allemands tirent leur épingle du jeu

Article présent dans le dossier : Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation

Le comité Bus de l’UITP (Union Internationale des Transports Publics), organisation dont le siège aura d’ailleurs toujours été à Bruxelles, a développé, pour la première fois, le concept de standardisation dans son rapport « Standardisation of motorbuses », rédigé à la faveur du 38e congrès de l’Union, à Londres, en 1969. Trois ans plus tôt, les Allemands avaient emboîté le pas aux Français, en créant leur propre standard, dénommé SL 1, dont les deux initiales correspondaient respectivement à Standard et Linienbus (autobus urbain). A la manœuvre se trouvait le très remarquable VöV (Verband öffentlicher Verkehrsbetriebe, association des exploitants de transport public), qui deviendra, en 1991, l’actuel VDV (Verband Deutscher Verkehrsunternehmen, association des entreprises de transport allemandes). Dès octobre 1966, un groupe de travail était constitué au sein du VöV, rassemblant une dizaine de membres en provenance d’opérateurs différents. Là encore, il s’agissait de concevoir un véhicule de 11 m, cette fois pour l’Allemagne. La standardisation devait porter tout aussi bien sur la caisse que sur ses aménagements, ou encore sur le système électrique. Le groupe travaillait également en collaboration étroite avec le célèbre FFG (Fahrzeugwerkstätten Falkenried, littéralement « ateliers du matériel roulant Falkenried », installé à Hambourg, aujourd’hui reconnu pour son expertise unique dans l’électromobilité et la gestion technique des parcs d’autobus, et qui faisait jadis partie intégrante de l’opérateur local des transports urbains Hamburger Hochbahn). Enfin, des experts ...

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Retrouvez le dossier Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation dans le magazine VR&T n°634

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