fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Outre-Rhin, on persévère

Article présent dans le dossier : Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation

Déjà actif, à la fin des années 60, dans l’élaboration du premier standard allemand SL1, le célèbre FFG (Fahrzeugwerkstätten Falkenried) de Hambourg met aujourd’hui son expertise au service de la pile à combustible et de l’électromobilité.

 

Moins d’une décennie après le lancement réussi du standard SL1, le VöV réfléchissait déjà à l’élaboration de la nouvelle génération dite « SL2 ». L’accessibilité, au sens très actuel du terme, préoccupait déjà les Allemands, qui essayèrent, un court temps, des roues de petit diamètre, en vue d’abaisser la hauteur de plancher, afin que le voyageur n’ait plus qu’une seule marche à gravir. Mauvaise idée, qui se traduira aussitôt, sur les premiers prototypes, par un moindre confort dynamique, davantage d’usures et, surtout, la difficulté de dissiper la chaleur produite lors de chaque freinage. En France, l’autobus Renault R 312, également apparu au milieu des années 80, connaîtra d’ailleurs, pour des raisons similaires, les mêmes travers. Finalement, le VöV publiait le cahier des charges définitif du SL2 en 1983, stipulant des roues de diamètre plus important, tandis que les premiers véhicules de série pouvaient sortir deux ans plus tard. Trois constructeurs allemands avaient répondu d’emblée : Mercedes, avec le O 405, MAN avec le SL 202, et Neoplan, avec le N 416. Le constructeur allemand Setra, surtout réputé pour ses autocars de grand tourisme, avait, lui aussi, souhaité se mettre sur les rangs. A une époque où l’alliance avec Mercedes, dans le cadre d’Evobus, restait ...

Il vous reste 70% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation dans le magazine VR&T n°634

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique