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Standardiser les interfaces de charge

Article présent dans le dossier : Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation

La charge lente peut aussi être réalisée, si nécessaire, avec un chargeur mobile.

 

Le raccordement du chargeur au véhicule s’effectue par une prise au standard Combo 2.

 

A défaut, donc, de pouvoir réellement standardiser tant les autobus 100 % électriques que les infrastructures de recharge, l’on s’est tout naturellement orienté vers une standardisation des interfaces entre les deux, qui reste la condition sine qua non de l’interopérabilité. La fameuse prise Combo 2, pour la charge lente en dépôt, concrétisait, au demeurant, l’une des premières actions de standardisation en la matière. Il faudra, sans nul doute, aller au-delà des seules interfaces si l’on désire une électromobilité économiquement durable. Dans le monde des transports urbains, peut-être plus encore que dans d’autres sphères industrielles, on a souvent recherché la standardisation. Quel opérateur ne rêverait-il pas de pouvoir exploiter un parc parfaitement homogène ? Le record absolu en matière de standardisation au niveau d’un seul exploitant reste détenu -sans doute pour l’éternité- par le London Transport, avec la légendaire famille RT, qui aura été construite, pour lui, en quelque 7 000 exemplaires ! Cet autobus à étage de l’immédiate après-guerre, conçu spécifiquement pour répondre aux exigences des deux réseaux londoniens (Central et Country), a circulé en service commercial ...

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Retrouvez le dossier Bus de demain. L’impossible défi de la standardisation dans le magazine VR&T n°634

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