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« Pour s’exporter, il faut avoir la taille critique »

13 Sep 2023

Concurrence , Egis , industrie , Ingéniérie , Ingérop , Setec , SNC Lavalin , Systra , Transamo

Dossiers > Le monde très concurrentiel de l’ingénierie > « Pour s’exporter, il faut avoir la taille critique »

Article présent dans le dossier : Le monde très concurrentiel de l’ingénierie

Fabrice Drouin, pilote du groupe de travail ferroviaire chez Syntec-Ingénierie.

Ville, Rail & Transports. Quelles sont les forces et les faiblesses des sociétés d’ingénierie en France ? Fabrice Drouin. Globalement, les sociétés d’ingénierie françaises sont reconnues à l’international pour leur savoir- faire. Elles sont portées par de grands constructeurs français (Vinci, Eiffage, Bouygues,

Fabrice Drouin

TSO…) et de grands acteurs du ferroviaire en systèmes, comme Alstom et Thalès, ou comme Engie. Ces entreprises vont conquérir de grands marchés à l’international et souhaitent coopérer avec des sociétés d’ingénierie avec lesquelles elles apprécient de travailler notamment en raison de leur vision systémique. À l’international, des partenariats sont aussi noués avec des acteurs locaux.

VRT. Qu’est-ce qui différencie les entreprises françaises de leurs concurrents ? F. D. Nous faisons face à des ingénieristes internationaux de très grande taille (pouvant employer 10 000 collaborateurs, voire même jusqu’à 100 000 salariés) avec des positionnements différents. En France, les ingénieristes emploient de quelques milliers à 10 000 personnes. Dans les pays anglo- saxons, les ingénieristes se positionnent en tant que donneurs d’ordre alors que dans la culture française, les entreprises de construction occupent une position beaucoup plus centrale. Ce modèle nous paraît plus vertueux, car il permet une ...

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Retrouvez le dossier Le monde très concurrentiel de l’ingénierie dans le magazine VR&T n°675

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