Setec, porté par le ferroviaire
13 Sep 2023
Concurrence , Egis , industrie , Ingéniérie , Ingérop , Setec , SNC Lavalin , Systra , Transamo
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Article présent dans le dossier : Le monde très concurrentiel de l’ingénierie
Sommaire
- Le monde très concurrentiel de l’ingénierie
- « Pour s’exporter, il faut avoir la taille critique »
- Egis vise le top 10 mondial
- Systra, globe-trotter à marche forcée
- Ingérop, la voie du tramway
- Setec, porté par le ferroviaire
- SNC-Lavalin se retire du marché français
- Transamo, spécialiste des projets de mobilité
Soixante-six ans cette année, Setec a déjà une longue histoire derrière elle, avec à son actif de beaux contrats, comme celui du tunnel sous la Manche. Au fil du temps, la société d’ingénierie française est devenue pluridisciplinaire, intervenant dans le routier, le portuaire, le bâtiment, le nucléaire, l’urbain. Mais le ferroviaire reste sa première activité, avec le groupe SNCF comme premier client. « Nous sommes en maîtrise d’oeuvre sur Éole et sur CDG Express. Nous nous positionnons sur les LGV, sur des projets emblématiques », souligne Fabrice Drouin, directeur général de Setec ferroviaire. Entre autres nouveaux contrats gagnés, citons celui du prolongement de la LGV au Maroc.
Avec 3 500 personnes, Setec compte une vingtaine de filiales en France (Setec ITS, Setec nucléaire…) et une quarantaine à l’international. La société a réalisé un chiffre d’affaires de 440 millions d’euros en 2022. « Nous sommes un groupe indépendant qui connaît une croissance de 10 à 15 % par an », indique Fabrice Drouin. Une croissance purement organique.
« Nous ne cherchons pas à faire des acquisitions », assure le dirigeant. À la différence de bien d’autres, Setec n’est pas dans une course à la taille.
M-H.P.
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Retrouvez le dossier Le monde très concurrentiel de l’ingénierie dans le magazine VR&T n°675