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Les projets de MaaS en manque de soutien

Article présent dans le dossier : Les nouvelles tendances de la mobilité

Les collectivités en pointe sur les projets de MaaS (Mobility as a Service) attendaient un coup de pouce de l’Etat… qui n’est pas venu. Les avancées sur ces plateformes multimodales (dont le but ultime est de permettre l’achat d’un trajet sans se soucier du transporteur) se font pas à pas.

Acronyme anglais pour « Mobility as a Service », traduit par « mobilité servicielle », le MaaS veut donner à l’usager un seul outil numérique pour trouver les meilleurs modes de déplacements à combiner pour son trajet (publics et privés, actifs et si possible décarbonnés) et les payer de façon unifiée et transparente. De nombreuses collectivités s’appuient sur les outils déjà en place (calculateurs d’itinéraires, billettique intégrée) pour faire un pas de plus vers le MaaS avec la participation d’acteurs privés : Bretagne, Grand-Est, Hauts-de-France, Ile-de-France, Normandie, Nouvelle-Aquitaine, Aix-Marseille, Annemasse, Bordeaux, Mulhouse, Rennes ou Saint-Etienne… Or, si l’esprit de la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM), adoptée en décembre 2019, qui parle du MaaS dans son titre III, « donne toute autorité aux acteurs territoriaux qui sont les plus à même de savoir quels sont les besoins des citoyens en local et les dispositifs les plus pertinents », comme le rappelle Claire Baritaud, directrice de la Mission innovation numérique et territoires (MINT) du ministère de la Transition écologique, les collectivités en pointe sur le sujet attendaient, pour mener à bien des expérimentations, un coup de pouce de l’Etat… qui n’est pas venu.

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Retrouvez le dossier Les nouvelles tendances de la mobilité dans le magazine VR&T n°639

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