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Bruxelles : les priorités de la présidence hongroise

Mis à jour le 23 mai 2017

Une présidence prudente mais résolument européenne. C'est le message qu'a délivré le ministre des Transports hongrois, M. Pal Volner, devant la commission TRAN (transports et tourisme) au Parlement européen à Bruxelles, le 25 janvier. Une présidence prudente mais résolument européenne. C'est le message qu'a délivré le ministre des Transports hongrois, M. Pal Volner, devant la commission TRAN (transports et tourisme) au Parlement européen à Bruxelles, le 25 janvier. Tout en voulant s'inscrire dans la continuité des présidences précédentes, le ministre a clairement dit que « la refonte du paquet ferroviaire est pour [lui] une priorité. Et que, s'il le faut, [il] organiserai[t] des réunions toutes les semaines pour faire avancer ce dossier ».

Interpellé par le député libéral italien Giommaria Uggias (ALDE) en ces termes : « Quelle idée forte se dégagera de la présidence hongroise pour la politique des transports ? », le ministre a répondu que l’axe majeur de sa présidence était d'agir « en plaçant les intérêts européens au-delà des intérêts particuliers de chaque Etat membre tout en trouvant un équilibre entre le marché intérieur et un système de transport européen unique intégré ».

Pal Volner a d'ores et déjà pris date pour le 2 mars, date de la publication du Livre blanc sur l'avenir de la politique des transports. Le retard de parution « est lié aux questions sur le climat et l'environnement qui doivent être ajoutées et/ou précisées avant d'ouvrir le débat », a indiqué le ministre. Les discussions au Conseil avec les vingt-sept ministres des Transports sont prévues pour juin. Leur but est de susciter des échanges tout en accordant une attention particulière à l'efficacité, à l'environnement, à la cohésion et aux aspects financiers – concernant en particulier le Réseau transeuropéen de transport (RTE-T).

Enfin, sans grande surprise, concernant la révision de la directive Eurovignette, le ministre hongrois a annoncé qu'il s’attellerait à « chercher un compromis entre les tenants d'une solution obligatoire et les autres ». Il appartient, dans un premier temps, au socialiste belge Saïd El Khadraoui (S&D) de travailler avec l'ensemble des groupes politiques au sein du Parlement européen afin de convenir d'une position commune. L'idée du ministre est d'ouvrir la voie à un accord pour une première lecture avant le Conseil de cet été.

Rappelons que c'est la première fois que la Hongrie assume la présidence tournante de l'Union européenne. En outre, la présentation du programme du Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a donné lieu à des échanges tendus au Parlement européen. Cela explique peut-être les propos timorés de Pal Volner face à une commission TRAN exigeante : « La présidence a peu de latitude pour discuter au Conseil », a indiqué le ministre. D’où un sentiment d'impuissance mêlé de pessimisme dans la salle à la fin de son allocution. Il a, par ailleurs, lui-même qualifié son discours de « trop prudent ». À sa décharge, Pal Volner rappelle que « beaucoup de choses sont entre les mains des grands Etats ». Quoi qu’il en soit, la présidence polonaise héritera du dossier de la refonte du premier paquet ferroviaire ; néanmoins, il serait regrettable que le manque de confiance de cette première hongroise affaiblisse la politique des transports de l’Union européenne.

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