Nouvelle-Aquitaine. Renaud Lagrave repart pour six ans
17 Sep 2021
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Sommaire
- Politique des Transports. Des exécutifs régionaux dans la continuité
- Auvergne-Rhône-Alpes. Frédéric Aguilera, de la mairie de Vichy à la Région
- Bourgogne-Franche-Comté. Michel Neugnot garde le cap
- Bretagne. Michaël Quernez sera chargé du climat et des mobilités
- Centre-Val de Loire. Philippe Fournié reste aux commandes
- Corse. Flora Mattei, une ingénieure à la tête de l’Office des Transports
- Grand Est. David Valence, un pilier aux Transports
- Hauts-de-France. Franck Dhersin sur la même ligne
- Ile-de-France. Stéphane Beaudet à la tête du plus grand réseau de France
- Normandie. Jean-Baptiste Gastinne poursuit le programme de modernisation
- Nouvelle-Aquitaine. Renaud Lagrave repart pour six ans
- Occitanie. Jean-Luc Gibelin reprend du service (public)
- Pays de la Loire. Roch Brancour veut accélérer sur le ferroviaire
- Sud - Provence-Alpes-Côte d’Azur. Jean-Pierre Serrus succède à Philippe Tabarot
Suite à la réélection d’Alain Rousset pour un cinquième mandat à la tête de la Nouvelle-Aquitaine, Renaud Lagrave a été désigné vice-président chargé des Mobilités pour la deuxième fois.
Conseiller régional depuis 2010, Renaud Lagrave repart pour six ans de vice-présidence aux Mobilités à la région Nouvelle-Aquitaine. « Si, en 2015, je n’avais pas de Bac +5 en matière de transport régional, c’est désormais le cas », sourit-il, après s’être de nouveau vu confier ce portefeuille suite à la réélection d’Alain Rousset à la tête de la Nouvelle-Aquitaine.
L’occasion pour le socialiste landais, ex-conseiller municipal de Mont-de-Marsan et actuel président du GIP Littoral Aquitain et de la société Trans-Landes, de poursuivre ce qui a été initié. Il s’agira notamment de continuer à travailler sur la sortie du diesel de tous les cars régionaux et des TER avec, en tête, l’échéance de 2030.
Deuxième priorité : le plan d’investissement ferroviaire qui a démarré en 2017 et va rentrer dans son application immédiate. « Le protocole ferroviaire tel qu’il avait été voté, prévoyait 1,3 milliard d’euros pour ne fermer aucune ligne et les remettre en état. C’est le sujet qui est devant nous, auquel il faut ajouter le grand projet ferroviaire du Sud-Ouest » (GPSO) Bordeaux/Toulouse sans oublier Bordeaux/Dax et donc le prolongement de la ligne à grande vitesse (LGV) au sud. « Ce qui intéresse la Commission européenne, c’est la LGV vers l’Espagne. C’est le chaînon manquant au niveau européen, ...
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Retrouvez le dossier Politique des Transports. Des exécutifs régionaux dans la continuité dans le magazine VR&T n°651