fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Le « oui mais » de la Bourgogne–Franche-Comté

05 Avr 2016

bus , Exploitation , Intercité , TET

Dossiers > Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat > Le « oui mais » de la Bourgogne–Franche-Comté

Article présent dans le dossier : Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat

La position de principe de la Bourgogne–Franche-Comté est simple, selon Michel Neugnot, son vice-président chargé des Transports : « Nous ne nous interdisons rien. A partir du moment où il y a complémentarité entre réseau TER et Intercités, la question de l’harmonisation des réseaux mérite d’être posée. En revanche, sur les longues distances, comme c’est le cas entre Paris et Clermont-Ferrand, il appartient à l’Etat de maintenir les lignes, c’est son rôle. »

Selon Michel Neugnot, qui est aussi le président de la commission Transports de l’Association des régions de France (ARF), lorsque François Philizot aura complètement achevé son tour de France des régions et aura remis son rapport au gouvernement, l’Etat et la SNCF pourront avancer des propositions plus précises sur l’avenir du réseau. « Il sera alors possible de parler des conditions du transfert, poursuit Michel Neugnot. Il n’est évidemment pas question que l’Etat n’organise pas de transfert financier aux régions. » Ces moyens financiers devront porter tant sur le matériel que sur le fonctionnement, précise encore l’élu qui conclut : « Pour la SNCF, ce ne doit pas être un solde de tout compte. »

M.-H. P.


Il vous reste 75% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat dans le magazine VR&T n°586

DOSSIERS PrécédEnts

Le fournisseur de batteries Forsee Power vise l’équilibre en 2024

Eole part à la conquête de l’Ouest

Grands Prix des régions 2024 – Le beau succès des TER

Le bilan 2023 des grands groupes de transport