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Nord-Pas-de-Calais–Picardie pose ses conditions

05 Avr 2016

bus , Exploitation , Intercité , TET

Dossiers > Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat > Nord-Pas-de-Calais–Picardie pose ses conditions

Article présent dans le dossier : Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat

Deux lignes Intercités sont menacées dans la région Nord-Pas-de-Calais–Picardie, qui souhaiterait se rebaptiser « Hauts-de-France ». Le rapport Duron avait pointé le manque de rentabilité des lignes Paris – Amiens – Boulogne-sur-Mer et Paris – Saint-Quentin – Maubeuge – Cambrai. « Ce sont des trains d’équilibre du territoire, ils n’ont pas vocation à rapporter de l’argent », rétorque Gérald Darmanin, vice-président Les Républicains de la région, en charge des Transports.

Pour autant, l’élu avance qu’il est impossible pour la collectivité territoriale de supporter intégralement les coûts de ces lignes. « Il est hors de question de prendre en charge ces trains Intercités si le matériel roulant, très vieillissant, n’est pas changé », déclare Gérald Darmanin. Autre condition réclamée par l’élu : une compensation financière pour supporter les coûts d’exploitation. Selon les calculs de l’Etat, les coûts de fonctionnement des deux lignes Intercités de la grande région reviendraient à 40 millions d’euros par an. « S’il y a une compensation suffisante, la région est partante, avance Gérald Darmanin. Vu l’enjeu pour les villes moyennes comme Cambrai ou Douai, la région est prête à prendre en charge ces lignes, mais vu la baisse des dotations de l’Etat, on ne peut pas tout accepter. »

Durant sa campagne, le candidat Les Républicain Xavier Bertrand avait promis aux usagers des TER et Intercités le Triple A : « assis, à l’heure et avertis » en cas de pépin. Voilà un argument électoral qui pourrait s’avérer difficile à tenir. La ...

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Retrouvez le dossier Cars, TER, Intercités. Les régions face à l’Etat dans le magazine VR&T n°586

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