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Les Lorrains vent debout contre la fermeture de Nancy - Lyon

05 Déc 2018

Dossiers > Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ? > Les Lorrains vent debout contre la fermeture de Nancy - Lyon

Article présent dans le dossier : Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ?

Nancy ne veut pas devenir un « cul-de-sac ferroviaire ». L’expression d’Olivier Jacquin, sénateur (PS) de Meurthe-et-Moselle, résume la tournure dramatique du débat qui domine, depuis juillet 2018, les relations entre les élus lorrains, le ministère des Transports et la direction de la SNCF. En cause, la modification programmée début 2019 des dessertes TGV entre Nancy et Lyon. Les trains n’emprunteront plus la ligne historique et directe, via Dijon. Le nouveau schéma de dessertes prévoit deux tracés alternatifs via Marne-la-Vallée, à l’ouest, ou via Strasbourg à l’est. Vers le sud au départ de Nancy, les voyageurs devront se contenter de deux TER quotidiens jusqu’à Dijon, avec une correspondance en direction de Lyon.

« La SNCF utilise le prétexte des travaux à venir en gare de Lyon-Part-Dieu pour fermer les lignes qu’elle juge moins rentables », déplore Olivier Jacquin. De nombreux élus du Grand Est sont montés au créneau, faisant état de leur mécontentement dans la presse régionale et sur les réseaux sociaux sous le titre « Touche pas à mon TGV ». Jean Rottner, président (LR) du Conseil régional, a lancé une pétition en ligne qui a recueilli 37 000 signatures. « La région Grand Est et les collectivités ont investi au total plus de 850 millions d’euros pour être desservies par le TGV », calcule-t-il, avant de rappeler que certaines gares TGV de la desserte Sud Lorraine telles que Toul, Neufchâteau et Culmont-Chalindrey sont aujourd’hui « menacées de fermeture ». Vexé parce que ses courriers à Guillaume Pepy seraient restés lettres mortes, ...

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Retrouvez le dossier Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ? dans le magazine VR&T n°618

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