Modernisation nécessaire dans les Pays de la Loire
05 Déc 2018
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Article présent dans le dossier : Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ?
Sommaire
- Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ?
- « Les choix se font au détriment de l’aménagement du territoire »
- Les Lorrains vent debout contre la fermeture de Nancy - Lyon
- Le Jura se sent à l’écart en Bourgogne-Franche-Comté
- Les travaux de la Part-Dieu compliquent tout en Auvergne-Rhône-Alpes
- Nice et Avignon moins bien desservis en Provence-Alpes-Côte d’Azur
- Modernisation nécessaire dans les Pays de la Loire
- Le Centre-Val de Loire a déjà repris les Intercités
- En Hauts-de-France quelques changements en attendant le big bang
- La Normandie se prépare au grand changement de 2020
- Peu de changements en Occitanie
- La Bretagne et la Nouvelle-Aquitaine bénéficient de l’effet TGV
A partir du premier semestre prochain vont commencer les travaux de modernisation de Nantes - Bordeaux, entre La Roche-sur-Yon et La Rochelle, où la vitesse est réduite à 60 km/h. Il s’agit de renouveler la ligne à deux voies, longue de 103 km, et de moderniser la signalisation qui remonte à 1903. Du fait du coût de travaux, concernant à la fois les Pays de la Loire et la Nouvelle-Aquitaine, on renouvellera les deux voies l’une après l’autre, ce qui permettra de faire porter les travaux par deux CPER. Une première phase pour 138 millions d’euros doit commencer au premier semestre 2019 et durera plus d’un an, la voie étant fermée. Puis la deuxième voie sera refaite pour 119 millions d’euros. La fin du chantier est prévue pour 2023. Entre Nantes et Rennes, la Fnaut, regrettant que le fer n’assure que 5 % des déplacements, y voit une preuve de l’insuffisance de la relation par Redon, et demande « une exploitation intelligente de l’axe passant par Châteaubriant », nécessitant selon l’association des travaux peu coûteux.
Quant à l’offre Intercités Paris – Nantes, elle se trouve réduite, avec suppression des trains des vendredis et lundi. Au sein du périmètre TER, la région, candidate à la libéralisation, a fait inscrire dans la convention 2018-2023 le principe d’un « ticket détachable » permettant de mettre en concurrence jusqu’à 1,5 million de kilomètres-trains.
F. D.
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Retrouvez le dossier Nouveaux horaires 2019 : le début du grand ménage ? dans le magazine VR&T n°618