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230 villes d’Europe limitent déjà leur accès

Article présent dans le dossier : Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble

Après la Suède, pionnière dans l’expérimentation de « Low emission zone » (LEZ) zones à circulation automobile il y a vingt ans, de nombreuses villes européennes se sont lancées depuis une dizaine d’années. 85 % de ces zones se trouvent en Italie ou en Allemagne. Ainsi dans cette dernière, chaque année depuis 2008, plusieurs villes inaugurent une nouvelle LEZ. Au total, l’Ademe en recensait 211 début 2016 et elles seraient à ce jour quelque 230. Partout, l’objectif recherché est le même : tenter de réduire la pollution atmosphérique et de respecter les valeurs limites de la réglementation européenne, en particulier celles relatives au dioxyde d’azote (NO2) et aux particules PM10. Mais les superficies concernées sont extrêmement variables, allant de 2 km² pour le centre urbain d’Ilsfeld en Allemagne à 1 500 km² pour la totalité de l’agglomération du Grand Londres ! Quant aux véhicules concernés, presque toutes les collectivités ont choisi de commencer par les poids lourds, ainsi que les bus et cars. Mais la plupart des villes allemandes s’attaquent aussi aux véhicules légers, sans faire dans la dentelle : Ilsfeld et Bonn bannissent ainsi tous les diesels du périmètre concerné, même les Euro 6 mis qui ont un ou deux ans. Quant à l’Italie, royaume du deux-roues, elle les inclut aussi dans ses dispositifs. Cependant si l’Allemagne rend les restrictions généralement permanentes, l’Italie s’en sert soit pendant les pics de pollution soit durant des plages horaires définies. A noter enfin que si de nombreux degrés de restrictions sont possibles, des avantages peuvent aussi être consentis aux véhicules les plus vertueux, comme le stationnement à tarif réduit. Une manière d’inciter deux fois ...

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Retrouvez le dossier Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble dans le magazine VR&T n°595

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