fbpx

Je me connecte

E-mail*
Mot de passe*

> Mot de passe oublié?

Je m'inscris

*Champs obligatoires

Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée en 2004, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent.
1. Mon Compte
2. Mes activités
3. Mes Newsletters

Vous devez lire et accepter nos conditions générales de vente et d’utilisation *

* Mentions obligatoires

Je souhaite recevoir la newsletter :

Je m'enregistre

Mot de passe oublié ?

Recevez chaque mercredi
le sommaire de notre LETTRE CONFIDENTIELLE
et soyez informé des dernières actualités essentielles
de la mobilité et des transports.

Je valide !
Inscrivez-vous
ou connectez-vous
X
X

X

Recevoir des contenus similaires

Sélectionnez la catégorie ci-dessous pour être alerté(e) dès qu’un article évoquant ce sujet est publié sur notre site.

X

RAJOUTER A MON PORTE DOCUMENT

Sélectionnez un dossier :

Créer un nouveau dossier

Les effets bénéfiques des restrictions parisiennes

Article présent dans le dossier : Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble

Dioxyde d’azote, particules fines, benzène… Le cocktail respiré par les Parisiens est suffoquant. Et largement provoqué par le trafic routier. La Ville a donc engagé un plan de lutte contre la pollution atmosphérique qui prévoit d’interdire progressivement les véhicules les plus polluants avec pour but d’éradiquer le diesel en 2020. Mesure centrale du dispositif, Paris devient en janvier une immense zone à circulation restreinte (ZCR) dans un périmètre délimité par le boulevard périphérique (qui lui-même en est exclu), en semaine de 8h à 20h. Seuls sont désormais autorisés à circuler les véhicules arborant, sur le pare-brise ou sur la fourche d’une moto, une écovignette Crit’Air (voir p. 30), indiquant le niveau de pollution. La mairie avait déjà interdit depuis le 1er juillet dernier les véhicules immatriculés avant le 1er janvier 1997 ainsi que les deux-roues motorisés antérieurs au 1er juin 2000. C’est aussi le cas des poids lourds et des cars datant d’avant octobre 2001 qui ne sont plus autorisés depuis juillet 2015. Mais on était encore en quelque sorte dans une période de tolérance. Désormais, l’heure est à l’application effective des interdictions. De plus, en cas de pic de pollution à Paris, la préfecture pourra décider d’interdire d’autres catégories de véhicules. Les pastilles aideront à les identifier. « Un arrêté est en cours de discussion pour voir quelles mesures on prendra en cas de pic », souligne-t-on dans l’entourage de Christophe Najdovski, l’adjoint (EELV) à la maire de Paris, chargé des Transports. L’efficacité du contrôle dépendra de la préfecture de police. Dans un premier temps, il sera important pour bien marquer le coup, assure-t-on à la mairie ...

Il vous reste 71% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.

Retrouvez le dossier Zones interdites. Les plans antipollution de Paris et Grenoble dans le magazine VR&T n°595

DOSSIERS PrécédEnts

Le bilan 2023 des grands groupes de transport

Equipementiers & services : la SNCF à la rencontre des fournisseurs du Grand Est pour les décarboner

Où en est l’ERTMS en France ?

Mauvaise passe pour le titre unique