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CAF, du Mexique aux Etats-Unis et à l’Amérique du Sud

05 Mai 2017

Alstom , Bombardier , CAF , constructeur , Siemens

Dossiers > Amériques. La renaissance des transports publics > CAF, du Mexique aux Etats-Unis et à l’Amérique du Sud

Article présent dans le dossier : Amériques. La renaissance des transports publics

Après avoir pris pied au Mexique avec le métro de México en 1992, CAF s’est étendu au nord et au sud du continent avec un développement proche de celui qu’il a connu en Europe.

En un quart de siècle, CAF a pris racine au Mexique et aux Etats-Unis, puis en Amérique du Sud. Pour le constructeur espagnol, le développement outre-Atlantique présente des similitudes avec celui qu’il a connu en Europe et aux alentours, passant de travaux de maintenance ou de sous-traitance avec les « grands » constructeurs au développement de ses propres matériels roulants, du tramway au train grandes lignes en passant par les métros et les trains de banlieue.

C’est par le métro de Mexico que CAF a pris pied, en 1992, sur le continent américain. Un métro à pneus « à la française » dont le parc était alors en grand besoin de modernisation, après deux bonnes décennies de service. Outre les travaux de maintenance, CAF a alors remporté des contrats pour la production de 15 nouvelles rames NE 92 pour Mexico et de 22 rames pour le nouveau métro de Monterrey, produits en Espagne (en même temps, Bombardier faisait l’acquisition du constructeur mexicain Concarril, à Sahagún, et équipait également les deux métros mexicains). Depuis 2002, les contrats se succèdent pour CAF sur le métro de Mexico (17 rames NM 02 en consortium, neuf rames pour la ligne A , 30 rames pour la ligne 12 et enfin dix rames pour la ligne 1 commandées en 2016) entraînant la construction d’un site industriel à Huehuetoca. ...

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Retrouvez le dossier Amériques. La renaissance des transports publics dans le magazine VR&T n°599

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