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Une gare maritime pour le train

05 Juin 2017

Grande vitesse , SNCF

Dossiers > Comment le TGV transforme les villes > Une gare maritime pour le train

Article présent dans le dossier : Comment le TGV transforme les villes

Grâce aux démolitions pratiquées, la gare se voit de loin. « Ce sera un monument de la ville. "Monere" en latin, qui a donné monument en français, signifie montrer », rappelle sans pédantisme aucun l’architecte Etienne Tricaud qui a conçu la nouvelle gare de Lorient pour l’agence Arep dont il est également le président. « On est dans l’axe du boulevard Franchet-d’Esperey. C’est une porte ferroviaire grande ouverte sur Lorient. »

Et pour la Ville aux cinq ports, une gare qui évoque son passé et son présent maritimes s’imposait. Elle est en bois. « C’est la première gare en bois de France », explique l’architecte. Une nouvelle passerelle vitrée de 60 mètres dotée d’escalators et d’escaliers donne accès non plus à trois mais à quatre voies à quai et aux deux parvis. « C’est aussi la première passerelle ferroviaire à structure en bois », fait encore remarquer au passage Etienne Tricaud. (Le voyageur, lui, regrettera tout de même que Réseau n’ait pas rénové dans la foulée l’ancienne passerelle décatie qui barre encore vilainement la vue.)

De l’intérieur, le hall planté de mâts s’ouvre comme une immense casquette, une sorte de lumineux hangar à bateaux. Il abrite loueur de voitures, presse, commerces d’alimentation… En hauteur, des coursives desservent des bureaux de la SNCF et de la police ferroviaire et un élégant plafond évoque une charpente de navire.

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Retrouvez le dossier Comment le TGV transforme les villes dans le magazine VR&T n°600

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