Un immense chantier à ciel ouvert. C’est ce que peuvent voir les Rennais de leur futur pôle d’échanges multimodal (Pem) dont les bâtiments doivent être achevés fin 2018, le parvis sud, la coque en béton planté de gazon en 2019, et les aménagements nord à l’arrivée du métro ligne B en 2020. « La ville est perçue comme trop minérale, la gare apportera de la verdure », précise Pascal Croce, le directeur de projet de SNCF Gares et Connexions. Un chantier de 117 millions d’euros, démarré en septembre 2015, qui n’aura pas pu être anticipé pour 2017. La SNCF préfère constater que cinquième quai, la neuvième voie sont prêts « et la régularité a été maintenue à 97 % alors qu’on a dû faire passer les trains avec un quai et deux voies manquants durant deux ans », poursuit-il.
Premier objectif pour ce Pem : accueillir les 128 000 voyageurs par jour prévus en 2020 contre 63 000, soit dix millions par an jusqu’à présent. Un immense espace d’échanges de 17 m de haut mettra en relation tous les modes de transport. Fierté des concepteurs, sous la houlette d’Arep : « faire entrer la lumière naturelle jusqu’au métro grâce à l’utilisation d’une couverture transparente de coussins gonflables en ETFE, matière légère facile à mettre en œuvre déjà utilisée à Montpellier », explique Pascal Croce, qui avait dirigé le projet montpelliérain. Les zones de départs et d’arrivée des trains – 5 000 m² de béton blanc – gagneront en luminosité.
Deuxième objectif, alors que tous les accès à la ...
0 >>
La gare, futur hub régional
05 Juin 2017
Grande vitesse , SNCF
Dossiers > Comment le TGV transforme les villes > La gare, futur hub régional
Article présent dans le dossier : Comment le TGV transforme les villes
PARTAGER
Sommaire
Un immense chantier à ciel ouvert. C’est ce que peuvent voir les Rennais de leur futur pôle d’échanges multimodal (Pem) dont les bâtiments doivent être achevés fin 2018, le parvis sud, la coque en béton planté de gazon en 2019, et les aménagements nord à l’arrivée du métro ligne B en 2020. « La ville est perçue comme trop minérale, la gare apportera de la verdure », précise Pascal Croce, le directeur de projet de SNCF Gares et Connexions. Un chantier de 117 millions d’euros, démarré en septembre 2015, qui n’aura pas pu être anticipé pour 2017. La SNCF préfère constater que cinquième quai, la neuvième voie sont prêts « et la régularité a été maintenue à 97 % alors qu’on a dû faire passer les trains avec un quai et deux voies manquants durant deux ans », poursuit-il.
Premier objectif pour ce Pem : accueillir les 128 000 voyageurs par jour prévus en 2020 contre 63 000, soit dix millions par an jusqu’à présent. Un immense espace d’échanges de 17 m de haut mettra en relation tous les modes de transport. Fierté des concepteurs, sous la houlette d’Arep : « faire entrer la lumière naturelle jusqu’au métro grâce à l’utilisation d’une couverture transparente de coussins gonflables en ETFE, matière légère facile à mettre en œuvre déjà utilisée à Montpellier », explique Pascal Croce, qui avait dirigé le projet montpelliérain. Les zones de départs et d’arrivée des trains – 5 000 m² de béton blanc – gagneront en luminosité.
Deuxième objectif, alors que tous les accès à la ...
Il vous reste 84% de l'article à lire
L'accès à la totalité du dossier est réservé aux abonnés, aux utilisateurs d’un porte-monnaie ou aux acheteurs de l’article à l’unité.
Retrouvez le dossier Comment le TGV transforme les villes dans le magazine VR&T n°600
VRT Magazine n°682
avril 2024
Lire un extrait, acheter le magazine
En savoir + S'abonnerVRT International
InnoTrans special
En savoir +Découvrir le numéro annuel
et les archives
Newsletters de vr&t
Lettre confidentielle, Alertes, Événements
En savoir +Mon vr&t
Un réseau social pour les professionnels de la mobilité
En savoir +